« (…) une femme fleur se voit réincarner cette fois-ci sous les traits du Génie créateur ou magique, s’échappant elle aussi d’un socle massif et ovoïde, après que celui a été frotté-caressé-lustré comme un objet précieux. »
Angélique Escandell, « Johan Creten, Dark Continent », La Revue de la Céramique et du Verre, n°171, Mars-Avril 2010, page 50.